L’évaluation objective des acquis d’apprentissage est clairement une des grandes priorités de l’agenda de l’enseignement. Surtout depuis le développement des cours en distanciel ou mixtes à côté des cours traditionnels en présentiel. Pour pouvoir suivre la courbe d’apprentissage de vos étudiants, il vous faut dans ce cas de meilleures données, données qu’il est plus facile de générer avec des tests numériques.

« Les tests numériques sont très faciles à organiser, avant, pendant ou après les moments d’apprentissage. Outre leur grande flexibilité, ils offrent aussi d’autres avantages que n’offrent pas les tests papier, explique Joris Vanholme, General Manager de Televic Education. Analyser les résultats en ligne est très facile. Grâce à ces données, vous pouvez voir directement, en tant qu’examinateur ou enseignant, si vos étudiants maîtrisent suffisamment ou non la matière. Un test en ligne peut également prendre plusieurs formes et être rendu ainsi plus attractif pour les étudiants. Du win-win donc. »

Tests formatifs ou sommatifs ?

Les tests de connaissances numériques, sommatifs et/ou formatifs, peuvent avoir un double objectif.

• Un exemple de test sommatif bien connu est l’examen en fin de période d’apprentissage. « L’image instantanée » ainsi obtenue est alors cotée, avec l’accent sur le résultat final. Ce type de test en dit moins sur la courbe d’apprentissage.
• Les tests formatifs sont par contre mieux adaptés au suivi d’une courbe d’apprentissage. Il s’agit de tests intermédiaires, après lesquels l’enseignant donne chaque fois un feed-back à l’étudiant qui connaît ainsi les points auxquels il doit faire attention avant l’examen final.

 

Joris Vanholme : « Pour nous, l’évaluation des acquis d’apprentissage est une approche « et/et », où le test formatif renforce le test sommatif. Et notre plateforme d’examens en ligne assessmentQ est précisément configurée pour pouvoir combiner les deux formes. »

Tests numériques et idées fausses

« La principale idée fausse au sujet des tests numériques est qu’il s’agit d’une copie numérique de la version papier. Une perception qui vous fait passer à côté des possibilités supplémentaires qu’offrent les tests numériques », selon Joris.

« Ensuite, les tests formatifs sont encore trop souvent confondus avec les QCM numériques. Or, cette forme de test n’est qu’une des nombreuses possibilités. Notre plateforme propose par exemple plus de 25 types d’exercices pour évaluer toutes sortes de connaissances et aptitudes, ajoute-t-il.

C’est à vous de choisir la forme d’exercice qui correspond à votre branche ou aptitude. Si vous voulez par exemple faire un test en médecine sur l’emplacement exact d’un muscle, un QCM n’aura aucun sens. Un dessin ou une indication avec un stylet sera bien plus utile. Un professeur de langues posera encore d’autres questions, tout comme un professeur en comptabilité. Notre plateforme a de quoi contenter tout le monde. »

Petit aperçu des différents types d’exercices :

• Exercices à compléter
• Termes à relier
• Classement
• Enregistrement : l’étudiant enregistre une vidéo dans laquelle il explique oralement son argumentation en réponse à un problème ou traduit simultanément un extrait de texte.
• Tableau blanc : type d’exercice où l’étudiant utilise un « stylet » pour répondre à une question sous forme de dessin.

Des données qui changent tout

Joris : « Les rapports en ligne ont plus de dimensions que les listes de résultats papier. Vous pouvez notamment créer et lire des résumés, voyager dans le temps et visualiser certaines évolutions. Bref, vous pouvez aller bien plus dans les détails. »

« Nous allons lancer prochainement un rapport « Mystudent » qui donnera encore plus d’informations à l’étudiant sur son parcours d’apprentissage en comparant par exemple en un clin d’œil ses propres résultats à la moyenne. Il reste encore beaucoup de « territoires inexplorés » dans le domaine des tests numériques. Essais et ajustements sont pour nous des mots-clés. »